Cultur’elle
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Pour colorer sa vie de beau, de vrai, de bien…
Nous avons dit « culture » ?
- Elle n’est pas d’abord une masse de connaissances
- Elle intègre toutes les dimensions de la personne
- Elle se transmet
Nous avons dit « culture et femme » ?
- La femme a besoin de cet accomplissement personnel par la culture
- Qui se déploie dans sa vie relationnelle et profite à la vie en société
- Car la femme est au cœur de la transmission
Ces sessions sont l’occasion pour les femmes de prendre conscience de leur propre culture, de l’enrichir et de la plonger dans le mystère de la grâce du Christ.

Vatican II, Gaudium et Spes 53« Il y une pluralité de cultures. Car des styles de vie divers et des échelles de valeurs différentes trouvent leur source dans la façon particulière que l’on a de se servir des choses, de travailler, de s’exprimer, de pratiquer sa religion, de se conduire, de légiférer, d’établir des institutions juridiques, d’enrichir les sciences et les arts et de cultiver le beau. »
Or cultiver le beau, le bon et le vrai, pour reprendre les transcendantaux de Platon et Aristote, c’est se retrouver dans un patrimoine commun, à la finalité commune. Il y a donc LA culture qui correspond à la personne humaine et au plan de Dieu sur elle et sur le monde. Et en cela, toutes nos cultures sont bonnes si elles ont pour orientation le bien, la vérité et la beauté. Car le mot « cultiver » évoque la croissance de la vie.
« Au sens large, le mot « culture » désigne tout ce par quoi l’homme affine et développe les multiples capacités de son esprit et de son corps » rappelle Vatican II, Gaudium et Spes (53). Elle humanise la personne.
Au fil des 3 sessions, vous pouvez bénéficier d’enseignements et d’ateliers très divers : la culture embrasse en effet tous les domaines de notre vie.
Les chanoinesses et des intervenants extérieurs vous proposent des approches complémentaires, comme la littérature, la Parole de Dieu, l’art musical, l’art du vin, la gestuelle, … etc.
Où?
Le cadre du monastère
des Chanoinesses d’Azille
– Un Monastère : c’est un visage ecclésial et marial.
– Canonial, sous le charisme augustinien.
Saint Augustin apporte une coloration particulière, mise au service du Vrai, du Beau, du Bien, transfigurés par sa rencontre avec le Christ. Il montre par son témoignage de vie et ses écrits, la nécessité d’une éducation de la sensibilité, qui passe par l’intelligence nourrie de la vérité, et par la volonté gouvernée par la raison, surélevés par la grâce.
Sous le patronage de :
– Sainte Monique : mère de saint Augustin, elle s’est illustrée dans tous les domaines de la sainteté. Dans sa vie de femme, dans sa vie d’épouse et de mère chrétienne – donc dans la promotion de la sainteté du mariage et l’éducation des enfants. Et aussi dans sa participation à la vie ecclésiale à Milan ; dans la recherche intellectuelle et spirituelle avec Augustin et ses amis, à Cassiciacum.
– Sainte Edith Stein : sa vie a été une longue quête de la vérité, depuis la vérité philosophique jusqu’à la rencontre avec le Christ en personne. Sainte Thérèse-Bénédicte de la Croix a unifié sa vocation chrétienne et ses origines juives, dans le témoignage d’une vie féminine livrée jusqu’au bout.
